Présence d’acides aristolochiques dans un remède traditionnel Martiniquais
Grâce à la collaboration du dispositif de toxicovigilance aux Antilles, de l’ARS, du service de pharmacognosie de la faculté de pharmacie de Paris V, du centre antipoison de Paris, et de la CIRE Antilles-Guyane, des acides aristolochiques nephrotoxiques et cancérogènes ont été détectés dans un remède traditionnel Martiniquais :